22 novembre 2024

J’arrête le sucre ?

BFMTV a consacré un dossier complet sur le sucre. À cette occasion, Céline Hussonnois-Alaya m’a interviewé pour participer à l’analyse de cette grande bataille pour arrêter le sucre. Avec mes 17 ans d’expérience sans sucre, je contribue modestement à son enquête, une saga de 10 articles…

Pour des raisons évidentes de droits d’auteurs, je ne vais pas reproduire l’intégralité du dossier mais seulement afficher les passages me citant et les liens vers chaque article.

J’ARRÊTE LE SUCRE #1 : Pourquoi le sucre et moi, c’est fini !

Car le sucre se glisse bien souvent là où on ne l’attend pas. « En étant mauvaise langue, je dirai qu’il y en a partout », dénonce pour BFMTV Stéfane Guilbaud, formateur en changement de comportements alimentaires et auteur de Je ne mange pas de produits industriels. « Le sucre apporte du corps à des matières premières non nobles. C’est l’élément fondamental pour masquer un manque initial de qualité, tout cela dans une logique de produits ultra-transformés. Il y a une surenchère permanente. On est endormi, ankylosé par le sucre. »
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« Notre alimentation est complètement déstructurée », renchérit Stéfane Guilbaud. Le sucre, à l’origine un condiment, fait désormais partie de nos habitudes. « On ne se rend même plus compte qu’il est tout le temps dans notre assiette. »

J’ARRÊTE LE SUCRE #2 : Les 10 habitudes à changer si vous souhaitez réduire le sucre

« La plus grande escroquerie sur le sucre, c’est le chocolat noir, dénonce pour BFMTV Stéfane Guilbaud, formateur en changement de comportements alimentaires et auteur de Je ne mange pas de produits industriels. La plupart du temps, c’est une sucrerie chocolatée. » Il recommande ainsi du chocolat noir à partir de 80% voire 90%. « Si votre tablette ne contient que du chocolat noir, les 10% ou 20% restants sont du sucre. »
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Ainsi, pour une tablette à 70%, cela représente cinq morceaux. Stéfane Guilbaud préconise également les tablettes de chocolat noir avec noix, amandes ou noisettes, mais non soufflées et non caramélisées.

J’ARRÊTE LE SUCRE #3 : Que manger au petit-déjeuner lorsque l’on décide de limiter le sucre ?

Pour Stéfane Guilbaud, auteur de Je ne mange pas de produits industriels, un petit-déjeuner trop sucré amorce un cercle vicieux qui perturbe le métabolisme de la glycémie, c’est-à-dire le taux de glucose dans le sang. « Lorsque l’on consomme du sucre, le pancréas sécrète de l’insuline afin de réguler cette élévation rapide du niveau de glycémie dans le sang, explique-t-il à BFMTV. Mais une fois que ce taux de sucre est régulé, cela entraîne par conséquent une chute de la glycémie. On se retrouve alors dans un état d’hypoglycémie. C’est le coup de barre et la fringale de 11 heures. Et pour contrer cela, le corps demande de consommer à nouveau du sucre. »
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« La première étape pour consommer moins de sucre, c’est de transformer son petit déjeuner », poursuit Valérie Espinasse. Et d’opter pour davantage de protéines et de lipides que de glucides. Stéfane Guilbaud est du même avis. « Culturellement, on a appris à casser le jeûne avec du sucre, mais cela ne se passe pas forcément comme ça ailleurs dans le monde. »
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Vers un petit déjeuner salé ? « On peut aussi envisager de finir les restes du dîner de la veille, comme un wok de légumes, ou une portion de ratatouille, voire de la choucroute », recommande sérieusement Stéfane Guilbaud.
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« Un peu de pain complet ou intégral au petit déjeuner, oui, pourquoi pas, mais on pourrait tout à fait s’en passer, estime Stéfane Guilbaud. On s’imagine qu’on a besoin de céréales pour commencer la journée, alors que ce n’est pas une nécessité. »
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« Ces produits extrudés, déstructurés, deviennent hyper-glycémiants, indique Stéfane Guilbaud. C’est la même chose pour les galettes de riz. On présente ça comme un produit léger, mais je n’ai jamais vu personne maigrir en en mangeant. Le riz blanc, à l’indice glycémique déjà élevé, l’est encore plus en étant soufflé. »

J’ARRÊTE LE SUCRE #4 : Comment bien lire les étiquettes pour éviter les « sucres cachés » ?

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J’ARRÊTE LE SUCRE #5 : Ma première semaine de désintoxication

Mais encore faut-il passer par une opération de décryptage des étiquettes. Pas toujours évidente. « Il faut se méfier des produits qui peuvent se présenter comme ‘nature’ ou ‘sans sucres’: s’il est ajouté du jus de raisin ou du jus d’autre chose, c’est en réalité du sucre, met en garde Stéfane Guilbaud, auteur de Je ne mange pas de produits industriels et formateur en changement de comportements alimentaires. Attention également à l’amidon de maïs ou à la farine de tapioca: si le maïs ou le tapioca bruts ne posent aucun souci, transformés, ils ont un indice glycémique élevé. »

J’ARRÊTE LE SUCRE #6 : Pourquoi il faut s’intéresser à l’indice glycémique des aliments

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J’ARRÊTE LE SUCRE #7 : Deuxième semaine: comment j’ai craqué (et je me suis reprise)

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J’ARRÊTE LE SUCRE #8 : Troisième semaine: pourquoi j’ai le droit de m’accorder une (seule) douceur

Attention au sirop de glucose-fructose. Stéfane Guilbaud, formateur en changement de comportements alimentaires et auteur de Je ne mange pas de produits industriels, se méfie particulièrement du sirop de glucose-fructose, également appelé sirop de maïs, isoglucose ou sirop à haute teneur en fructose (high fructose corn syrup, HFCS). Il est présent dans de nombreux produits industriels, des glaces, aux gâteaux en passant par les crèmes desserts. « Si le fructose est naturellement présent dans les fruits, ce produit n’a rien de naturel, dénonce-t-il pour BFMTV. C’est une substance de synthèse à l’origine des stéatoses hépatiques et des syndromes métaboliques. Le sirop de glucose-fructose dépasse tout entendement. Nous n’avons pas les capteurs-récepteurs. On peut en boire des litres sans que le corps ne soit averti. On en trouve partout, même dans les biscuits pour enfant, ce qui conditionne l’addiction dès le plus bas âge. »

J’ARRÊTE LE SUCRE #9 : Pourquoi les produits light ne sont pas si light

Comme l’explique pour BFMTV Stéfane Guilbaud, formateur en changement de comportements alimentaires et auteur de Je ne mange pas de produits industriels, lorsque le gras est éliminé, le produit n’a plus de tenue. « Du coup, les industriels doivent ajouter du sucre. Un produit déjà naturellement sucré le devient encore plus. » Sans compter que, pour Magali Walkowicz, diététicienne et auteure du Compteur de glucides, « se priver de gras, c’est se priver d’acides gras essentiels », assure-t-elle à BFMTV. « Les produits allégés en gras n’ont pas lieu d’être. En plus, ce qui est retiré est remplacé par du sucre, des édulcorants ou des additifs afin de conserver une texture. Quand on allège d’un côté, il faut bien ajouter de l’autre. »

J’ARRÊTE LE SUCRE #10 :  Pourquoi il n’est pas si difficile de limiter sa consommation de sucres ajoutés

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Bonne lecture.

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